Vous avez fait vos études à Sorbonne Université ? à la faculté des sciences, la faculté de santé (ex-UPMC) ou la faculté des Lettres (ex Paris Sorbonne); et ce que vous y avez appris est un atout dans votre métier actuel ?
Vous avez besoin d’acquérir de nouvelles compétences ou d’approfondir certains points…
Revenez à Sorbonne Université pour vous former, compléter votre formation et améliorer votre employabilité : stages courts, Diplômes d’Université, VAE, reprise d’études (licences, masters, doctorats, diplômes d’ingénieurs …) en bénéficiant des dernières connaissances issues de la recherche et de démarches de formation innovantes.
Vous pourrez :
- Bénéficier d’entretiens individuels pour votre projet de formation,
- Assister à des conférences sur les principaux sujets sociétaux du 21ème siècle,
- Reprendre vos études pour votre 2de partie de carrière,
- Approfondir des compétences par des stages courts en bénéficiant des issues de la recherche,
- Participer à l’interaction entre le monde académique et le monde socio-économique,
- Intervenir en tant que professionnel dans les cours tant en formation initiale que continue.
Aidez-nous à promouvoir la formation continue de SU auprès de vous responsables RH et formation de votre entreprise !
Alumni, anciens stagiaires de la Formation Continue
Les alumni de la formation continue forment une communauté internationale de talents. La formation continue de l’UPMC puis de Sorbonne Université, développe depuis février 2009 le réseau de ses anciens stagiaires.
Tout au long de leur parcours professionnel, les stagiaires peuvent bénéficier de l’accompagnement de Sorbonne Université pour cultiver leurs liens au sein du même réseau et s’impliquer dans la vie de l’université.
L’objectif est de :
- Créer un réseau des anciens stagiaires,
- Permettre aux collaborateurs des entreprises créées par les anciens stagiaires -ou des entreprises où ils sont en poste- d’accéder aux formations continues de SU,
- Permettre les échanges entre anciens et/ou entre entreprises,
- Promouvoir les formations de SU,
- Faciliter l’accès à l’emploi,
- Organiser des rendez-vous privilégiés : manifestations, séminaires et conférences ou événements.
Ensemble, contribuons au développement des vos carrières, de vos projets professionnels et à ceux de votre entreprise en faisant rayonner Sorbonne Université.
Le réseau alumni se construit avec vous et pour vous !
Témoignages

Jean-Christian DHAVERNAS
Diplôme d’Université (DU) « Adolescents difficiles : approche psychopathologique éducative. »
Promotion 2021-2022
Après avoir obtenu en 2022 le Diplôme d’Université (DU) « Adolescents difficiles : approche psychopathologique éducative. »*, Jean – Christian Dhavernas, notre chef d’établissement coordinateur revient sur les raisons qui l’ont conduit à cette formation, sur ses bénéfices et nous confie ses aspirations. L’occasion pour lui de retire cette année de formation et de nous parler de sa vision du bien-être à l’école.
Quelle ont été vos motivations pour réaliser ce DU ?
On assiste à un phénomène d’« accélération » tous azimuts : dons le domaine éducatif, c’est tout aussi vrai. Même si je ne suis pas un adepte de l’étiquetage en « générations X, Y, Z », force est de constater que les générations semblent se succéder plus rapidement, et avec elles, leurs espoirs et leurs difficultés. Cela requiert de notre part d’avoir « des yeux pour voir » les défis anciens et actuels. Ce DU sur les adolescents en difficulté permet une mise à jour sur des questions classiques que pose l’adolescence, et offre des éléments de discernement sur des questions nouvelles comme les troubles de l’identité.
Que retirez-vous de cette formation à titre personnel et pour l’établissement ?
C’était une formation très dense, qui a l’avantage de permettre à des professionnels de secteurs différents (scolaire, éducatif, judiciaire, hospitalier…) de se rencontrer. Je retire donc déjà de cette expérience l’importance pour notre établissement de connaître us les acteurs intervenant sur son territoire. J’ai pu également authentifier des ressources nombreuses, comme par exemple des possibilités d’intervention de professionnels dans l’établissement: c’est ainsi que nous avons sollicité Fabienne Boulard, de la Police Nationale, pour sensibiliser les adultes à la question des violences intrafamiliales. Enfin, en termes de méthodes travail, j’ai découvert certains outils qui favorisent inintelligence collective et qui peuvent renouveler et inspirer nome manière de réfléchir en groupe.
Quelles actions sont prévues dans l’établissement concernant le bien-être : aujourd’hui et demain ?
Depuis deux ans, nous avons engagé un vaste programme de formation des membres de notre communauté éducative, avec un objectif bien précis : outiller chacun pour qu’il puisse, en prenant et gardant la place qui est la sienne, accompagner un élève dont il perçoit un mal-être. Cette juste distance est un chemin exigeant : il s’agit en effet pour l’adulte de repérer les signaux même faibles d’un mal-être, d’oser la parole juste si nécessaire, d’alerter quand il le faut… et de savoir passer la main pour ne pas se substituer aux professionnels. Cette formation est continue pour les infirmières et les personnes du Point-Écoute ; elle a pris la forme pour toute l’équipe de vie scolaire (RVS, assistants d’éducation) et l’équipe de direction d’une « Formation aux Premiers Secours en Santé mentale », formation proposée ultérieurement aux enseignants volontaires. L’équipe de Pastorale a aussi suivi un intéressant programme de formation à l’écoute. En parallèle, l’équipe de vie scolaire s’est formée à la méthode de préoccupation partagée.
Et si vous aviez un rêve …
Ce serait d’abord un écueil à éviter pour une communauté éducative : celui du fantasme de la toute-puissance face au mal-être de nombreux jeunes. L’école est nécessairement une caisse de résonance de ce mal-être mais elle ne peut répondre à toutes les demandes. C’est un équilibre délicat : d’un côté, les progrès des sciences cognitives mettent mieux en évidence les causes de certains troubles d’apprentissage; de l’autre, on ne peut, à moins de remettre en cause le pourquoi d’une école, emboiter le pas à une médicalisation systématique de toute difficulté ou échec scolaire.
En réalité, le bien-être ne se commande pas, et c’est plutôt une bonne nouvelle ! II comporte bien sûr une dimension individuelle, qui a été prioritairement évoquée ici, mais on ne peut oublier que le bien-être est aussi le fruit d’un climat scolaire, d’une dynamique d’ensemble. Mon rêve serait donc celui-ci: pouvoir mieux actionner les leviers collectifs du bien-être !

Bryan NAJAR
Diplôme d’Accès aux Études Universitaires – DAEU B
Promotion 2019-2020
Présentez-vous et dites-nous ce qui vous a conduit à choisir cette formation ? Quel statut aviez-vous au moment de la formation ?
Je m’appelle Bryan NAJAR et je suis étudiant à Sorbonne Université en deuxième année de licence, option préparation au concours de l’École vétérinaire.
J’ai choisi le DAEU B avec l’objectif de reprendre mes études. En situation d’échec scolaire au lycée, je me suis alors dirigé vers le milieu professionnel. J’ai travaillé durant près de 10 ans, exercé plusieurs métiers et appris beaucoup de choses. Et puis j’ai décidé de reprendre mes études parce que je voulais poursuivre mon rêve, c’est-à-dire que j’avais l’ambition quand j’étais petit de devenir médecin et je me suis dit pourquoi pas ! J’ai donc pris mon avenir en main, repris mes études pour devenir médecin vétérinaire et améliorer mes connaissances en cherchant de l’autonomie intellectuelle.
Au début, j’ai été effrayé d’étudier avec des personnes beaucoup plus jeunes que moi mais finalement j’ai vu que c’était la formation qu’il me fallait. Dans la promotion on est tous un peu dans la même situation, à reprendre depuis le début, après un parcours pro.. Et voilà ! c’est génial. Cette formation nous permet une remise au niveau baccalauréat.
Comment cela se déroule-t-il et quels sont les points forts de cette formation selon vous ? Calendrier ? Contenu pédagogique ? Qualité des intervenants ? Échange avec les participants de la promo ?
La formation propose des créneaux adaptés à notre situation : cours de jour ou cours du soir. Les cours de jours (temps plein) c’est 2 jours par semaine (de 9h à 18h ou de 9h à 20h). Et les cours du soir est du lundi au vendredi de 18h à 20h. Moi j’avais opté pour les cours du jour car étant agent de sécurité incendie à la Royale Banque du Canada, j’avais les plages horaires de 12 heures et je travaillais souvent le weekend. Donc deux jours par semaine me convenait mieux.
Les points forts.
La qualité des professeurs : les professeurs sont très à l’écoute de nos besoins. Ils sont très compétents alors, connaissent notre situation et savent qu’on n’est plus des enfants ! Ce n’est pas juste une simple relation professeur élève, c’est très animée et très agréable. Ils connaissent nos difficultés et savent les appréhender dans leur pédagogie.
Le programme est vraiment bien pensé pour de la reprise d’études et particulièrement adapté pour la poursuite en licence. Si je prends le cas de la biologie, par exemple, l’enseignement est très condensé, ciblé, mais je continue aujourd’hui a utiliser ces connaissances dans le cadre de ma licence.
L’accès aux bibliothèques permet de travailler paisiblement et de se concentrer dans un environnement propice.
Les échanges avec les participants de la promo : nous sommes solidaires et avons un même point commun : obtenir le DAEU B (même si les raisons sont parfois différentes !). J’ai trouvé des gens supers de tous les horizons et de tous les âges. On a fait tout de suite un groupe WhatsApp afin d’échanger et communiquer entre nous.
La principale difficulté est de pouvoir allier le travail et les études, trouver l’énergie et la motivation.
Quelles portes cette formation vous ouvrent elles ? Quels projets de formation ou professionnels avez mis en œuvre grâce à ce diplôme ?
Aujourd’hui je suis étudiant à Sorbonne Université en deuxième année de licence de Sciences de la vie, parcours Prépa Concours B ENV (écoles vétérinaires).
Si vous avez l’objectif de faire une carrière qui passe par une licence, c’est vraiment top !
Seriez-vous prêt à recommander cette formation ?
Bien sûr ! Moi j’ai choisi cette voie et je recommande vivement le fait de reprendre les études pour s’en sortir ! C’est dur mais si on est déterminé et organisé, il ne faut pas être un génie pour réussir. Il faut juste du travail, de la persévérance et de la patience.

Frédérique MARQUET
DU Référent laïcité : gestion du fait religieux
Promotion 2020-2021 (1ère promotion)
Présentation
Je suis actuellement Directrice adjointe à la Direction du Développement Économique et de l’Emploi de l’Intercommunalité Paris Est Marne & Bois en charge de l’Innovation et des Expérimentations territoriales. Je mets en place à l’échelle des 13 villes qui composent le territoire une animation innovante des acteurs (entreprises, associations, collectivités, institutions) pour trouver ensemble des solutions aux enjeux de celui-ci et également des expérimentations permettant de rapprocher les entreprises innovantes : Start up, structures de l’ESS (Economie Sociale et Solidaire) des collectivités en m’appuyant sur des partenaires et un réseau de tiers lieux public et privés.
Qu’est-ce qui vous a conduit à choisir cette formation ?
Ma démarche était avant tout un souhait d’améliorer ma culture générale, d’acquérir des connaissances plus précises sur la thématique de la laïcité et d’en retirer des éléments pratiques pour répondre à d’éventuelles questions ou situations relatives à ce sujet de la part de mon employeur et d’élus mais aussi des entreprises et des associations du territoire avec lesquelles je travaille régulièrement.
Qu’avez-vous le plus apprécié ?
La convivialité la sympathie qui régnait aussi bien au sein de notre groupe de stagiaires qu’avec les intervenants. Une impression de tendre tous vers un même objectif.
Quels sont les points forts de cette formation selon vous ?
– L’alternance entre conférences et ateliers débats.
– Le sujet traité sous différents angles : philosophique, historique, juridique, récits d’expérience, le lien avec l’actualité.
– Le petit groupe de stagiaires qui permet les échanges et le travail collectif (malgré la visio conférence due au covid).
Que vous a apporté le fait d’être dans ce processus de formation ?
– D’isoler du temps et de me consacrer à la connaissance, au savoir.
– D’échanger sur des débats de fond, en dehors du quotidien, de prendre de la hauteur pour penser les situations.
Seriez-vous prête à recommander cette formation ?
– OUI à 100% !
Pour conclure, le mot de la fin ?
Cette formation est d’une grande qualité et est indispensable pour bien comprendre les situations auxquelles nous sommes confrontés aujourd’hui sur l’expression du fait religieux dans l’espace public et pour trouver le bon éclairage,
sans amalgame, ni manipulation pour défendre ce principe constitutionnel qu’est la laïcité à la française.

Silvana Riveros Alvarenga
Diplomate, Deuxième Secrétaire à l’Ambassade du Paraguay en France, chargée des Affaires Politiques et Coopération.
Stage court: Géopolitique : une méthode d’analyse du monde
Qu’est-ce qui vous a conduit à choisir cette formation ?
Mon intérêt pour cette formation est dû à la grande importance que la géopolitique a pour mieux comprendre la politique internationale, la diplomatie, les relations internationales et le monde actuel.
La géopolitique est souvent abordée de manière superficielle, ce qui exige aux personnes impliquées dans les domaines cités précédemment de se former spécifiquement sur le sujet afin de pouvoir l’utiliser correctement et d’en faire un outil au moment d’analyser les différents événements internationaux.
Quels sont les points forts de cette formation selon vous ?
La grande expertise du professeur dans les sujets abordés, le choix des thèmes et la méthode d’analyse y compris l’approche des théories géopolitiques, et la qualité des présentations.
Que vous a apporté le fait d’être dans ce processus de formation ?
À l’issue de cette formation, je me sens enrichie de connaissances théoriques et factuelles pour échanger sur la géopolitique générale, mais aussi celle des grandes puissances et puissances émergentes comme l’Inde, l’Iran et la Turquie. D’autre part, cette formation m’a aidée à comprendre les actions, les intérêts et la réalité actuelle des puissances, l’importance que les conditions géographiques ont pour bien analyser ses différentes conjonctures, et le fait que ces conditions ne représentent pas le seul facteur à considérer au moment d’analyser sa situation et développement actuels.
Seriez-vous prête à recommander cette formation ?
Absolument, car il s’agit d’une formation qui permet d’acquérir une base solide en matière de géopolitique en environ trois mois.
Pour conclure, le mot de la fin ?
En bref, ce cours représente une excellente opportunité d’entrer dans le monde fascinant de la géopolitique, idéal pour les étudiants et les professionnels des relations internationales, de la diplomatie et de la politique internationale. De même, pour ceux qui ont déjà des connaissances dans le domaine, c’est l’occasion idéale de les approfondir, compte tenu de la méthode et de la vaste bibliographie utilisées.

Sophie Villiers-Moriamé
DU Référent laïcité : gestion du fait religieux
Promotion 2020-2021 (1ère promotion)
Présentation
Après une carrière dans le domaine de la formation professionnelle en entreprise, je me consacre désormais aux divers apprentissages que j’ai dû laisser de côté faute de temps lorsque j’étais dans la vie active.
Qu’est-ce qui vous a conduit à choisir cette formation ?
Le fait religieux est un thème récurrent de l’actualité française, et le principe de laïcité qui guide l’État français dans ses rapports à la religion me semblait loin d’être limpide, malgré des apparences peut-être trop évidentes.
Qu’avez-vous le plus apprécié ?
J’ai pris énormément de plaisir à découvrir l’épaisseur philosophique insoupçonnée du concept de laïcité, les raisons historiques de la forme spécifique qu’il prend en France, mais aussi la manière dont il est vécu et défendu par des acteurs essentiels de son application.
Quels sont les points forts de cette formation selon vous ?
- La richesse du contenu, qui permet de cerner la question de manière à la fois large et approfondie.
- Le niveau et la compétence des intervenants, tous directement concernés par le sujet.
- La large place faite aux échanges, aux exercices pratiques et à un coaching personnalisé des participants, qui permet de répondre à leurs besoins professionnels concrets.
- La souplesse de la dualité présentiel/distanciel (particulièrement appréciable dans le contexte sanitaire actuel).
- Que vous a apporté le fait d’être dans ce processus de formation ?
- J’ai acquis des connaissances passionnantes en histoire, droit et philosophie, notamment dans les domaines de la politique et des religions.
- J’ai pu écouter des intervenants prestigieux, découvrir leur expérience et leur vision personnelle, et j’ai même eu l’opportunité de leur poser des questions!
- J’ai pu bénéficier à la fois du recul confortable de ma situation post-professionnelle et d’un stimulant sentiment d’intégration à un groupe d’apprenants très impliqués dans un sujet crucial pour leur carrière.
Seriez-vous prête à recommander cette formation ?
Sans hésitation ! Cette formation me semble incontournable pour tous ceux dont le rôle professionnel comporte une dimension de gestion du fait religieux, et/ou qui sont amenés à accompagner collègues, collaborateurs ou partenaires dans la mise en œuvre du principe de laïcité.
Pour conclure, le mot de la fin ?
Une mention spéciale pour le responsable pédagogique de la formation, Pierre-Henri Tavoillot, dont j’apprécie également beaucoup l’enseignement de philosophie dans le cadre de l’Université Inter-Âges de Sorbonne Université, et qui a su insuffler à ce cursus dédié à la laïcité les qualités qui sont les siennes : excellence, bienveillance et authenticité.

Gustavo Ribeiro de Macedo
Avocat au Brésil, consultant externe de Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE)
Stage court: Géopolitique : une méthode d’analyse du monde
Qu’est-ce qui vous a conduit à choisir cette formation ?
J’ai toujours eu un grand intérêt pour la géopolitique, car je pense qu’elle nous aide à nous situer et à nous guider face aux grands problèmes mondiaux. Après avoir lu un certain nombre des livres du professeur Graziano, je ne pouvais pas manquer l’occasion de participer à cette formation, car je n’avais aucun doute sur la haute qualité du cours, que je n’ai pas eu à démentir.
Qu’avez-vous le plus apprécié ?
Ce que j’ai le plus apprécié, c’est la priorité donnée par le professeur Graziano à nous donner les moyens pour que chaque étudiant puisse, par lui-même, analyser les principaux enjeux géopolitiques. Plus que de livrer ses propres analyses, il nous apprend à penser et à analyser de manière autonome.
Quels sont les points forts de cette formation selon vous ?
Le point le plus fort pour moi a été d’apprendre à penser la géopolitique de manière autonome. Cependant, je crois que la profondeur des enseignements géographiques, historiques et sociologiques servant de subside à la compréhension des thèmes étudiés mérite également d’être mentionnée. Ainsi, la formation nous guide non seulement à travers les grands défis géopolitiques, mais nous invite également à réfléchir et à étudier d’autres champs de connaissance.
De plus, la richesse du matériel fourni, la bibliographie soignée indiquée et la manière objective et charismatique de mener la formation ont fait que les deux heures de chaque session se sont écoulées sans que nous nous en rendions compte.
Que vous a apporté le fait d’être dans ce processus de formation ?
La formation m’a surtout donné un énorme stimulant pour approfondir mes études sur la géopolitique. Le cours m’a laissé l’impression que ce champ de connaissance est essentiel pour l’avenir de l’humanité, ouvrant des pistes de réflexion et d’action par rapport à nos défis les plus urgents. Sur une note plus personnelle, la formation a été déterminante pour les choix d’études que je ferai à l’avenir.
Seriez-vous prêt à recommander cette formation ?
Certainement. C’est un investissement avec un retour énorme, principalement dû aux instruments acquis pour analyser le monde d’aujourd’hui, qui est assez complexe et change rapidement.
Pour conclure, le mot de la fin ?
J’encourage fortement tous ceux qui peuvent suivre la formation. Sans comprendre le monde, comme la géopolitique le permet, il sera difficile de s’orienter dans un monde en ébullition. Bref, la formation fournit une carte précieuse du monde dans lequel nous vivons.

Rohan Gougé
Directeur Diversité, Inclusion et Qualité de Vie au Travail.
DU Référent laïcité : gestion du fait religieux
Promotion 2020-2021 (1ère promotion)
Qu’est-ce qui vous a conduit à choisir cette formation ?
J’accompagne au regard de mes fonctions l’ensemble des managers et salariés de mon organisation sur les questions relatives à la gestion du fait religieux et à ce titre, la formation proposée par la Sorbonne m’est apparue comme un atout important pour pouvoir répondre au sujet.
Qu’avez-vous le plus apprécié ?
La formation proposée s’est avérée fort complète et la diversité des approches permet d’avoir une vision du sujet dans toute sa complexité. J’en ressors en ayant appris beaucoup et avec surtout des clés supplémentaires pour mon activité professionnelle.
Quels sont les points forts de cette formation selon vous ?
Les points forts de cette formation sont clairement la richesse et la diversité des intervenants, tous passionnés et passionnants.
Que vous a apporté le fait d’être dans ce processus de formation ?
Les échanges avec les intervenants mais aussi avec les participants à la formation, tous d’horizons professionnels divers, permettent d’élargir le regard au-delà de son seul prisme professionnel.
Seriez-vous prêt à recommander cette formation ?
Absolument, cette formation me semble tout à fait utile.
Pour conclure, le mot de la fin ?
Je remercie vivement les intervenants à commencer par Pierre Henri Tavoillot pour avoir porté ce sujet et avec l’appui de Marianne Schilling, construit un parcours de formation riche de sens et de questionnements.

J.B. MICEWICZ
Cours de polonais
Promotion 2020-2021
Présentation
Ingénieur jeune retraité de l’industrie aérospatiale, père de trois enfants et grand-père d’un petit-fils, je suis un passionné d’histoire et de musique et, en dehors de ces deux domaines, suis un écrivain débutant.
Qu’est-ce qui vous a conduit à choisir cette formation ?
J’avais déjà en tête de faire un effort, dès que la chose serait possible, pour apprendre un peu de Polonais aux fins de ‘’survie’’ lorsque je me rends en Pologne. Avec mes cousins germains polonais nous ne communiquons depuis toujours qu’en anglais, sauf lorsqu’ils balbutient quelques mots de français, mais dans un inconfort comparable au mien. Mon père, né Polonais et naturalisé Français après-guerre à l’issue d’un parcours erratique semblable à celui de nombreux déracinés comme lui (baccalauréat clandestin, insurgé de Varsovie, prisonnier en Allemagne, libéré par les Britanniques et resté à l’Ouest pour reprendre des études à Louvain en Belgique) ne nous a pas appris la langue, chose qui se transmet souvent par les mères, la nôtre étant française et ne connaissant que quelques rudiments. J’ai voulu profiter – enfin ! – de ce temps libre retrouvé pour m’investir dans une langue qui chuchote familièrement à mes oreilles depuis mon plus jeune âge, lorsque j’observais et entendais mon père la pratiquer avec ses sœurs, au téléphone ou de visu (sans doute lorsqu’ils voulaient se parler tranquillement entre eux !). Les intonations, les prononciations me sont quasiment familières et ne me posent pas de difficulté. Mais pour tout le reste…
Qu’avez-vous le plus apprécié ?
J’avoue avoir craint le démarrage des cours, car nous étions deux vrais débutants seulement et il n’était pas possible de monter une classe de niveau 1 rien que pour nous, aussi nous sommes nous retrouvés dans un groupe Niveau 2 d’une douzaine d’élèves. Ce que j’ai, justement, le plus apprécié, a été la capacité démontrée par nos deux professeures chargées du cours principal et de quelques heures supplémentaires de soutien ainsi que d’ateliers de nous faire pleinement participer, de façon égale aux autres, et de nous intégrer parfaitement dans la classe où a régné un excellent esprit (investissement personnel de tous et esprit d’équipe partagé). Les parties d’enseignement formel (grammaire, règles) et pratique orale de la langue (fortement encouragée) sont harmonieusement équilibrées. Les supports (cours et exercices) sont de grande qualité. Ajoutons que maintenir avec une telle assistance une ambiance de travail et une bonne concentration de tous constitue à mes yeux, dans un environnement en distanciel avec toutes les frustrations que cela provoque du fait de la pandémie, une véritable performance
Quels sont les points forts de cette formation selon vous ?
Les Points forts : le réel soutien et l’encouragement que l’on reçoit pour se lancer, parler, écouter, répondre, poser des questions, avec une empathie et une attention évidente des professeures. La qualité de supports. Le bon équilibre entre enseignement à assimiler (règles, exceptions) et la pratique de la langue dans des situations concrètes et crédibles qui sont celles que l’on rencontre immergé dans un pays.
Que vous a apporté le fait d’être dans ce processus de formation ?
Un grand plaisir et une grande satisfaction, et la conviction que si j’y mets l’effort nécessaire les résultats sont là. J’ai hélas manqué deux séances, étant empêché, mais avec les supports et des indications j’ai toujours pu ‘’raccrocher les wagons ». Évidemment, rependant à mon défunt père je me dis que cette satisfaction doit être partagée, même si j’aurais dû la favoriser plus tôt…
Seriez-vous prêt à recommander cette formation ?
Bien évidemment, je recommanderais très volontiers cette formation, que j’espère pour ma part poursuivre
Pour conclure, le mot de la fin ?
Dans ma jeunesse, mon père me citait souvent, par cœur, en Polonais dans le texte que je ne comprenais évidemment pas, puis en français, les derniers mots du Ministre Beck lors de son discours devant le parlement polonais du 5 mai 1939. Ce texte est resté depuis dans ma tête sous sa forme française. Aujourd’hui, je peux relire et prononcer correctement ce texte dans sa langue d’origine, et cela procure une émotion particulière.
My w Polsce nie znamy pojęcia pokoju za wszelką cenę. Jest tylko jedna rzecz w życiu ludzi, narodów i państw, która jest bezcenną. Tą rzeczą jest honor.
« Nous, en Pologne, nous ignorons la notion d’une paix à tout prix. Dans la vie des individus comme dans celle de la nation il n’existe qu’une seule chose qui soit sans prix ; cette chose, c’est l’honneur. »

Chloé Arneodo
Enseignante agrégée en Sciences de la Vie et de la Terre
DU Référent laïcité : gestion du fait religieux
Promotion 2020-2021 (1ère promotion)
Qu’est ce qui vous a conduit à choisir cette formation ?
En tant qu’en enseignante agrégée en Sciences de la Vie et de la Terre, dans l’exercice de mon métier, j’ai pu faire l’expérience de multiples situations de remises en question de la pensée scientifique, teintées d’une certaine confusion avec ce qui relève du dogme ou des croyances personnelles. Etant également formatrice « radicalisation » dans l’Académie de Nice, où j’enseignais auparavant, et actuellement formatrice dans l’Académie de Créteil « Valeurs de la République », notre mission est de former le personnel du secondaire dans l’Education Nationale, et d’intervenir dans les établissements qui en font la demande. C’est alors avec le plus grand intérêt que j’ai souhaité suivre ce Diplôme Universitaire intitulé « Référent Laïcité : gestion du fait religieux » afin d’acquérir des bases solides sur les plans juridique, historique et philosophique pour pouvoir agir au mieux au sein de mon institution. Cette formation approfondie qui m’a été proposée par le Rectorat de Créteil, s’inscrit dans une volonté ministérielle de former les fonctionnaires qui seront amenés à traiter ces questions. Ce D.U. m’a également motivé sur un plan personnel et intellectuel afin de mieux comprendre les enjeux qui se jouent au sein de notre société, que ce soit en entreprise ou au sein de l’espace public.
Qu’avez-vous le plus apprécié et quels sont les points fort de cette formation selon vous ?
J’ai tout particulièrement apprécié les différents repères historiques qui m’ont permis d’avoir une vision éclairée et synthétique des événements indispensables à la compréhension de la laïcité française, replacés dans le contexte de l’histoire de France. J’ai également trouvé passionnants les cours sur les principales règles juridiques concernant l’application du principe de laïcité en droit français et européen, qui me permettent de poser un cadre rassurant, clair et sans ambiguïté : « tout est dit » dans la loi. Mais nous ne pouvons pas regarder que sous l’angle juridique, sinon comment expliquer que la laïcité soulève autant de débats sociétaux et suscite autant de problèmes d’incompréhension dans le monde ? Différentes approches complémentaires, m’ont permis de comprendre en quoi la laïcité est un principe fondateur et ont nourri mon analyse réflexive. Je conseille donc de suivre ce DU pour être éclairée comme je l’ai été.
Les études de cas, enfin, m’ont permis non seulement de pouvoir m’approprier le contenu théorique, mais aussi d’acquérir des méthodes et des outils de l’intelligence interculturelle pour comprendre, résoudre et apaiser des situations difficiles. J’ai d’ailleurs particulièrement apprécié partager une réflexion collective à l’occasion de ces ateliers avec les autres stagiaires. De plus, j’ai pu réaliser l’importance de connaître ses compétences personnelles afin de maîtriser la communication verbale et non verbale pour y répondre au mieux. Ces exercices pratiques indissociables d’un apport théorique m’ont permis d’acquérir une formation complète.
Pour conclure, le mot de la fin
En conclusion, cette formation universitaire que je recommande vivement, permet de « reconquérir l’intelligence de notre laïcité en l’éclaircissant » (citation de Marcel Gauchet).

Saadia AYADI
Responsable Système d’Information Ressources Humaines
« Du secteur marchand à l’initiative utile : Un parcours informatique au service de la collectivité.
Depuis Septembre 2020 à la Mairie de Nanterre, je suis responsable SIRH, chargée en collaboration de la DSIT et des équipes RH, de la modernisation et de l’optimisation des processus RH. Ma précédente fonction était cheffe de projet informatique Prestations/Activités et Ecoles numériques.
Cette réussite est le fruit d’une validation des acquis de l’expérience (VAE) et de l’obtention en 2013 d’un master 2 Sciences et Technologies obtenu à l’UPMC Paris Sorbonne.
L’évolution de mon métier a été programmée par un plan de formation continu et sélectif : diplômée d’DUT Génie Electrique et Informatique industrielle, ma carrière a commencé en qualité de technicienne informatique en 1995 en exerçant dans le privé chez un important éditeur de logiciel de gestion de projets : Sciforma, puis depuis 2008 j’ai pris mes responsabilités dans la Fonction Publique.
Ainsi j’ai été amené progressivement à travailler autour du management de projets en système d’information. La préparation du master m’a aidé également à réussir le concours d’ingénieur territorial, à acquérir une bonne connaissance des techniques managériales, de la gestion de projets, la capacité de travailler en transversalité, de mettre en œuvre une veille stratégique et juridique qui permet de collecter, traiter, analyser et diffuser des informations à valeur ajoutée au niveau de la collectivité. »

Anne Morin
DU Référent laïcité : gestion du fait religieux
Promotion 2020-2021 (1ère promotion)
Qu’est ce qui vous a conduit à choisir cette formation ?
J’ai eu l’opportunité, grâce au rectorat de Créteil de candidater à la formation au DU « Référent laïcité : gestion du religieux ». En tant que formatrice académique, je souhaitais en effet bénéficier d’apports historiques, juridiques, philosophiques et pouvoir confronter ma vision à celle d’autres personnes en situation professionnelle, plus particulièrement dans d’autres fonctions publiques et dans le secteur privé. J’étais également en recherche d’une formation qui me permette de mettre l’actualité en perspective et en débat, d’interroger des politiques interministérielles par le prisme d’intervenants experts (universitaires, historiens, philosophes, sociologues…).
Qu’avez-vous le plus apprécié et quels sont les points fort de cette formation selon vous ?
La formation a répondu à mes attentes puisqu’elle s’est révélée être une précieuse remise à niveau juridique, historique et philosophique. Les intervenants à la fois experts et engagés ont su se mettre à notre portée, c’est à dire prendre en compte notre parcours de formation initiale, notre parcours professionnel et susciter notre réflexion en tant que professionnel et individu.
Je me suis sentie accompagnée dans l’identification de mes ressources, de mes forces et atouts dans la négociation éthique qu’il convient de mettre de place, en équipe et en cas de tensions.
Enfin, j’ai apprécié l’esprit de groupe que nous sommes parvenus à former, malgré les conditions sanitaires particulières. Nous avons réussi à constituer un réseau professionnel dans lequel nous sommes les uns pour les autres, des ressources et des soutiens.

Aurore Douchet
Spécialiste Produit pour la division Hépatite C (HCV) d’AbbVie, nous raconte son expérience du premier parcours qualifiant en hépatologie orienté Hépatite C à la Sorbonne Université.
« Je travaille depuis 2 ans comme Spécialiste Produit pour la division Hépatite C (HCV) d’AbbVie. Mon activité consiste à informer les professionnels de santé de la région des Haut-de-France sur nos médicaments. Je suis titulaire d’une Maîtrise de biologie cellulaire et neurophysiologie.
Cette formation « parcours qualifiant en hépatologie orientée hépatite C », organisée par la prestigieuse institution Sorbonne Université, est une première dans le monde de l’industrie pharmaceutique, donc chez AbbVie. Pour moi, c’est une chance d’avoir suivi une formation assurée par 12 experts français parmi les meilleurs du domaine et créée spécialement pour nous, collaborateurs AbbVie. Cette formation de 3 jours s’inscrit aussi dans la volonté d’AbbVie d’acquérir une vision large du problème de l’Hépatite C pour espérer participer à l’élimination de cette maladie à l’horizon 2025.
A titre d’exemple, nous avons eu une conférence sur les populations particulières atteintes par l’Hépatite C et une autre sur l’éducation thérapeutique des patients. Cela nous aide à mieux comprendre les réalités quotidiennes que rencontrent les médecins, et être encore plus pertinents dans nos échanges sur l’accompagnement des patients.»

Michèle AMANOU
DU Référent laïcité : gestion du fait religieux
Promotion 2020-2021 (1ère promotion)
Présentation
A l’issue d’un parcours professionnel orienté sur la sécurité et la gestion de crise dans une grande entreprise publique, j’ai à cœur de consacrer mon temps désormais libéré aux sujets qui me passionnent. Le DU m’en a offert l’opportunité.
Qu’est ce qui vous a conduit à choisir cette formation ?
Plusieurs considérations dont : – la qualité des programmes ainsi que le niveau d’expertise des intervenants. Ces derniers provenant d’horizons très différents, promesse d’une grande ouverture d’esprit et, partant, d’un approfondissement des savoirs, – la richesse et la complétude de la proposition, intégrant non seulement un solide bagage théorique mais également des méthodologies très concrètes, destinées à fournir des outils opérationnels aux personnels concernés, J’ajouterais à cela un intérêt très personnel pour la laïcité, particulièrement celle que promeut le modèle français, ainsi que le désir d’approfondir mes connaissances sur une thématique aujourd’hui trop souvent galvaudée.
Qu’avez-vous le plus apprécié ?
La parfaite articulation entre un enseignement théorique de haut niveau et des apprentissages pratiques et opérationnels, – le souci constant de l’équipe pédagogique, en particulier celui de son responsable Pierre-Henri Tavoillot, d’être pleinement à l’écoute des étudiants sans rien concéder sur les exigences de la formation, – l’alternance entre les séances en distanciel (visioconférences et enregistrement des séquences pour une possible écoute en différé) et celles en présentiel, compromis optimal entre la nécessité de la rencontre et la facilitation du suivi de la formation, – l’intégration de séances du Collège de philosophie permettant d’ouvrir le DU à un public élargi et, partant, sur des problématiques plus transversales.
Quels sont les points forts de cette formation selon vous ?
L’enseignement d’un large spectre de disciplines avec une parfaite articulation entre les enseignements, théoriques (histoire, droit, philosophie de la laïcité …) et professionnalisants (cas pratiques, mises en situation, coaching individualisé), – la mobilisation de nombreux intervenants, tous reconnus dans leur domaine et très investis dans leur enseignement, – une organisation rigoureuse mais suffisamment souple de façon à répondre aux contraintes des stagiaires, la plupart étant en effet pleinement impliqués dans la vie professionnelle. – La disponibilité de l’équipe pédagogique et son soutien permanent aux étudiants, en vue notamment de la rédaction et de la soutenance du mémoire conclusif, – la dynamique du groupe favorisée par l’engagement de chacun avec la perspective à venir de promouvoir un réseau d’entraide mutuelle.

Yannick KRAUSE
Master de recherche en Histoire contemporaine : armée, guerre et sécurité dans les sociétés de l’Antiquité à nos jours
Promotion 2015-2017
Officier de carrière de l’armée de Terre, je suis actuellement conservateur du pôle muséal des écoles militaires de Bourges depuis septembre 2017. J’ai suivi un master de recherche en histoire contemporaine dans le cadre d’une formation continue à Paris IV Sorbonne de 2015 à 2017. Outre cette formation en Histoire, qui est venu concrétiser un attrait existant depuis mon plus jeune âge pour cette discipline, j’ai depuis obtenu le diplôme de muséologie de l’école du Louvre au cours du cycle 2019 / 2021. Je souhaite aujourd’hui apporter un témoignage modeste concernant ma formation à la Sorbonne, qui je l’espère pourra convaincre ou motiver de futurs stagiaires qui postuleraient au titre de la formation continue de Sorbonne Université. J’ai conscience que certains avis peuvent diverger mais il ne s’agit ici que de mon expérience et de mon ressenti.
La Sorbonne ; un choix raisonné
Lauréat d’un concours interne de l’armée de Terre, j’ai eu l’opportunité de choisir une formation universitaire sur Paris. Du fait de ma formation et de mon expérience militaire passées, la formation de Master intitulée Armées, Guerres et Sécurité semblait correspondre en tous points avec d’une part mes emplois futurs au titre de la filière histoire et patrimoine au sein des Armées et d’autre part de mes centres d’intérêts. Enfin, mon parcours professionnel me permettait également dans une moindre mesure de confronter certains des aspects pratiques du métier des armes avec une vision plus académiques du fait militaire.
Ces considérations quant au choix de ma formation étant faites, l’aspect géographique et le cadre prestigieux qu’offre l’enseignement à la Sorbonne n’ont fait qu’affermir ma volonté d’intégrer cette belle institution. J’ai particulièrement apprécié, dès les premiers contacts, la bienveillance du personnel de la formation continue, qui m’a aidé à concrétiser l’ensemble des démarches administratives et la préparation de ma validation des acquis personnels et professionnels (VAPP), bien que mon profil soit initialement assez éloigné du candidat type ou idéal. En effet, mon choix de diplôme semblait de prime abord très éloigné de ma formation académique initiale. Cette VAPP a donc été pour moi l’opportunité de faire un point sur mon parcours professionnel, sur les compétences développées tout au long de ma carrière, sur mes souhaits et mes centres d’intérêts, afin de mieux me préparer pour le parcours académique à venir.
Cependant, si l’inscription est une chose, la concrétisation et la réussite à la formation en est une autre.
Mes deux années en formation continue à la Sorbonne
Il apparaît ici important de présenter maintenant les points forts de la formation à la Sorbonne et les avantages de passer par la formation continue. Tout d’abord, il apparaît indispensable de souligner l’excellence de l’enseignement et la qualité du corps professoral que j’ai eu le privilège de côtoyer lors de ces deux années passées en Sorbonne. Je ne peux m’empêcher de citer ici mon directeur de Master le professeur Olivier Chaline et mon directeur de recherche le professeur Olivier Forcade. Mais il y en a bien d’autres et ils se reconnaitront, aussi bien lors des cours magistraux, que lors des travaux dirigés ou des séminaires et autres activités. Il est bien plus aisé de reconnaitre la qualité de l’enseignement lorsque les derniers bancs de l’école semblent lointains. Peut-être que le privilège d’apprécier un enseignement académique vient avec l’expérience et le poids des ans. Quoi qu’il en soit, je n’ai pas souvenir d’évènements désagréables hormis le fait, comme de nombreux stagiaires et étudiants, de devoir passer un certain temps dans les files d’attente pour accéder à la BIS ou d’autres bibliothèques. De plus, cette formation a été l’occasion pour moi de cibler les différentes options et matières en fonction de ma future orientation professionnelle et de mes appétences. Les conseils du personnel de la formation continue ont été un plus dans ce domaine. Enfin, le suivi des cours, avec notamment la signature des fiches de présence, bien que semblant rébarbatives au départ, n’a pas été plus contraignant que cela. Je ne peux pas terminer sans citer les excellents rapports que j’ai tissés avec les étudiants faisant partie de mes différents séminaires et cours. Mon parcours et mon approche intellectuelle se sont enrichis de nos échanges et de nos différences.
Pour conclure
L’enseignement à la Sorbonne dans le cadre du Master de recherche en Histoire a été un des moments les plus enrichissant tant d’un point de vue académique, que personnel ou professionnel. Ces deux années ont été riches de rencontres et d’échanges, me permettant ainsi de me constituer un réseau personnel et professionnel de qualité. La qualité de l’accueil et des échanges dès mon inscription en formation continue a été un point déterminant de ma réussite académique. Je ne peux qu’encourager les futurs candidats à suivre cette voie en Sorbonne, même si le contexte sanitaire dû à la crise COVID, obère significativement les contacts et échanges sociaux ainsi que l’avantage des cours en présentiel.