MASTER 2 BIODIVERSITÉ, ÉCOLOGIE ET ÉVOLUTION PARCOURS ÉCOLOGIE DE LA CONSERVATION – INGÉNIERIE ÉCOLOGIQUE : RECHERCHE ET EXPERTISE (ECIRE) MENU ÉCOLOGIE DE LA CONSERVATION (CONS)

OBJECTIFS / COMPÉTENCES VISÉES

Cette proposition d’enseignement spécialisée vise à former des futurs professionnels à même de mettre en œuvre et d’optimiser les stratégies de conservation en faveur de la biodiversité et de la protection des écosystèmes (chercheurs, chargé de mission). Cette formation offre une vision transversale de la conservation de la biodiversité et des écosystèmes en articulant sciences du vivant et enjeux sociétaux. Il s’agit d’approfondir les concepts scientifiques et de maitriser les outils les plus pertinents pour les différentes échelles de la biodiversité (gènes, population, communautés, écosystèmes) tout en recentrant le rôle de l’écologue dans la conservation de la biodiversité.Les étudiants valideront leur parcours par un stage en entreprise ou en laboratoire de recherche.

PUBLIC VISÉ ET PRÉ-REQUIS

Cette formation est destinée à des étudiants titulaires d’un diplôme de Licence en biologie ou équivalent, possédant des connaissances solides dans les disciplines scientifiques, et ayant une attirance très marquée pour la préservation de la biodiversité, le maintien des socio-écosystèmes reposant sur des relations Homme-Nature durables ou encore l’innovation technologique dans les sciences de l’environnement

Méthodes

Cours en Présentiel et / ou à distance, TD, TP, Projet,

Modalités d’évaluation

Examens et/ou CCF (Contrôle en Cours de Formation)

Débouchés

Une particularité importante de cette formation est de s’adresser à la fois à de futurs professionnels de la recherche scientifique (chercheur), du secteur privé (chef de projet en entreprise, chargé de mission) ou associatifs (chef de projet, chargé de mission, etc). Ce défis implique de fournir aux étudiants, quel que soit leur objectif professionnel, un corpus commun de connaissances fondamentales qu’ils devront mobiliser au cours de leurs carrières et qui permettra d’assurer voir de renforcer les liens entre acteurs académiques et non-académiques autour de la conservation d’espèces ou d’espaces.